Pour les héros qui nous sauveront.

 C'est ligne sont écrite précipitamment et donc pas très travailler veuillez m'en excuser.

Il y plus de deux milles ans les humains sont arriver dans le monde d'Eslia et se sont installer sur la cote. Les autres créatures qui étaient déjà installez en Eslia depuis plusieurs centaine de génération, ne savez pas d'ou ils venez et se qu'il voulez. Finalement la reine des elfes, Raisa, lassé de ses questions sans réponses décida d'allait voir les humains. Elle amenat cinquante de ses meilleurs guerriers avec elle, quand elle arriva prés de la ville q'avaient ériger les étranger elle demanda a un des hommes poster a l'entrée si elle pouvait voir leur chef. Il l’amena dans la tente de leur commandant. Elle discuta longuement avec le roi des humains et appris beaucoup de chose mais pas se qu'elle voulait savoir. Elle comprit, outrée qu'ils traiter les femmes comme des moins que rien et détester la magie. Elle les interrogea alors sur leur venu dans se monde le roi ordonna a ses soldat de tous les tuer. Les elfes étant plus rapide, plus endurant, plus entraîner et utilisant la magie avait toute les chances de gagner. Mais, les hommes ayant l'avantage du nombre les battirent facilement, seulement deux elfes et leur reine s'en sortir. Ils prirent la direction de la forêt pour retourner dans leur cité. Une fois arriver ils allèrent prévenirent les autre race du danger. Elles ne voulurent pas les écouter et partirent en les abandonnant a leur triste sort.

Les semaines passaient et les humains ne venaient toujours pas, dans chaque villes, dans chaque rues et dans chaque maisons elfique la terreur régnait en maître. Ils se préparaient tous au pire. Finalement au bout de trois long mois d'attente les humains les retrouvèrent. Sans suivit une guerre sans merci. Les humains massacrèrent les elfes comme si c'étaient des moutons.  Quand ils trouvèrent la reine ils l'immolèrent sous les yeux terrifier de ses sujets. Au petit matin les humains repartirent en laissent derrière eux un champ de bataille et quelques elfes. Les survivant s’enfoncèrent dans la forêt pour échapper au humains. Pendant les années qui suivirent les hommes ne firent plus rien. Puis un jour il envahirent le domaine des loup-garous. Les loup essayèrent de demander de l'aide mais les autres race leur tournèrent le dos. Une guerre éclatât entre les différente race, chacun accusant l'autre d'avoir fait venir les hommes. Les être surnaturel s'entre-déchirèrent laissent ainsi les humains les envahirent plus facilement. Plusieurs races furent exterminer ainsi. Les dragon, les fée, les licorne, les sirènes et des dizaine d'autre races disparurent pour toujours.  Les espèces restantes décidèrent de conclurent un pacte avec les hommes. Chaque race auraient sont bout de territoires et ne devrait en aucun cas aller sur celui d'une autre race sous peine de mort. Les hommes acceptèrent le pacte et toute les espèces signèrent, il fut décidait que se serait les rares elfes qui restaient qui devraient le garder.Ils devinrent donc les gardiens de la paix. Cette période a été appelée " Le grand fléau "

Deux mille ans se sont écouler depuis et le pacte n'est plus aussi stricte, les races peuvent allaient sur le territoire d'une autre et y vivre, il y même eue des métissages tel que des humains et des nekos ou des humains et des kitsunes. Presque tous les habitants du monde d'Eslia s'entendent bien entre eux, certain ne sont pas d'accord avec le fait que le pacte soit moins stricte mais ne le disent pas ouvertement. Enfin c'était encore comme ça ils y a six mois. Pourquoi ? Parce que les humains on laisser un roi manipulateur monter sur le trône. Une nouvelle guerre a éclater, et le roi dominent maintenant toutes les autres races. Elles ont toujours leur territoire mais c'est lui qui les contrôle. Les vieilles disputes on refait surface. Ce que j'écrit est censée rester secret et je prend de gros risque a le faire. Mais s'il-vous-plait, vous qui lisais ce mot sauver ce monde de sa destruction.                                                             

                                                                   signer : Orm L'érudit